The men are not objects( and it is a pity)

Il fut un temps ou j’adorais « blogoter » sur diverses conneries, sur divers blogs, le tout, sans me soucier des conséquences minimes dont je me fiche toujours aussi royalement.

Poil aux dents.

Et c’est à cette heure tardive que je m’en vais déverser ma bile, enfin, ce qui me tracasse. Fuyiez pendant qu’il en est encore temps. Ma vie sentimentale est un gouffre, un abîme de nullité. Le point zéro vient d’être atteint. En totale contradiction avec ça, je suis championne quand il s’agit des relations…des autres.

Peut être qu’au fond, j’ai pas envie de m’encombrer d’une quelconque compagnie affective, oui, ou sont les hommes ? Mais un homme, ça s’entretient, faut lui monter qu’on ressent un temps soit peu quelque chose à son égard, lui montrer qu’il existe pour nous, ce dont je suis incapable, le mythe de l’homme objet ? La perfection.

Je hais les couples qui s’envoient des textos inutiles, « comment vas tu aujourd’hui mon n’amour que j’aime plus que tout qui me manque à la folie ? » Oui, ça, ce genre de chose, ça me fait clairement dégobiller, inutiles et gerbantes.

Je ne sais pas m’occuper d’un homme, la est la réalité, je m’en lasse aussi vite que le dernier slip que je viens de m’acheter, je ne leur montre pas qu’ils sont importants pour moi, je suis l’anti-romantisme incarné. Je suis feignasse quand il s’agit de moi, voilà tout.

Oh et puis merde, à quoi bon tergiverser la dessus à une heure aussi tardive. Je coifferai Sainte-Catherine, mettrai des bas de laine, et finirai vieille seule et aigrie parmi mes 48 chats( qui me boufferont)...et ça me convient.