Crash into me
Y'a des jours ou rien ne va, vraiment rien, le bouton gauche de votre souris qui vous lâche comme ça, pouf d'un coup, j'utilise à présent une souris configurée à la gauchère, et vous ne pouvez même pas vous doutez à quel point c’est irritant.
Je me plains de tout et de rien.
Poil au main.
Et( ouh ouh ouh, je rigole), je dis donc, aujourd’hui, c’est la journée de la femme. Ah ouais, parce que les nanas ne doivent se faire respecter qu’un jour par an ? Au diable le symbolisme de cette ridicule journée, parlons engagement( je rigole encore). Je hais les féministes( mais je ne remets pas en cause leurs actions bénéfiques), je ne crois ni en la supériorité de l’homme, ni en celle de la femme mais à une parfaite égalité entre tous, et à ma supériorité incontestable sur les pauvres humains que vous êtes. Telle est ma théorie, et autant le dire, j’adore.
Que les féministes me lancent des pierres, je leur renverrais des rocs de granit en pleine tronche.
Et il pleut jusqu’à m’en noyer.
Poil au nez.
Oh, oh, oh, je viens de réaliser une chose sur ma pathétique existence : j’apprécie en particulier les gens qui en ont chié. Tadam, je m’explique. Je crois que je hais les gens qui ont tout eu, tss, pas l’argent et le luxe, non, l’harmonie d’un foyer, au cœur tendre, le tout enrobé de suintant et dégoulinant sentiments d’am…vous savez quoi.
Oui, j’aime les gens qui en on chié plus qu’il n’aurait du, limite, je préfère les gens encore plus tristes que moi.
C'est peut être pour ça que peu de gens me trouvent fréquentable...
Oh, oh, oh, et "Her Space Holiday", c'est vachement bien.